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Posted on: janvier 13, 2015 | 0 Commentaires

  • WordPress et les flux rss : comment les utiliser ?

    Souvent, l’ensemble des sujets traités sur un blog ne vous intéresse pas, mais juste une catégorie précise comme par exemple pour ce blog “FreeSwitch”. Afin d’éviter d’avoir son lecteur rss noyé par des articles ne correspondant pas à vos attentes, il est possible de s’abonner de manière ciblée grâce à la puissance des flux rss de wordpress. Cet article va intéresser tous mes lecteurs, car je vais publier quelques articles dont le sujet sera bien éloigné des télécoms ou de l’informatique, mais sur des sujets qui me plaisent. Plutôt que de créer plusieurs blogs spécifiques, je préfère utiliser celui-ci : maintenance simplifiée (quand on a peu de temps, c’est indispensable), et je n’ai pas assez de temps pour alimenter sérieusement des blogs séparés. Vous allez donc découvrir comment vous abonner de manière spécifique à ces nouvelles thématiques ou au contraire comment ne pas les voir (il faut respecter tous ses lecteurs et les intérêts de chacun). L’avantage de wordpress, même si c’est une usine à gaz, réside dans la panoplie d’outils disponibles. Nous allons donc voir comment utiliser en tant que lecteur les flux rss du célèbre moteur de blog. Pour vous abonner à un site fonctionnant sous wordpress, c’est simple, il suffit d’ajouter /feed/ à la fin de l’url, par exemple pour ce blog  : http://www.blog-des-telecoms.com/feed/ Vous recevrez ainsi tous les nouveaux articles dans votre lecteur de flux. Je profite pour vous conseiller Kriss Feed, qui est simple, très léger et performant. Maintenant, je ne souhaite m’abonner qu’à une catégorie spécifique, par exemple la catégorie “voip”. Pour cela, je vais ajouter “/category/” à la fin de mon url, suivi du nom de la catégorie “voip” suivi de “/feed”, ce qui donne pour ce blog : http://www.blog-des-telecoms.com/category/voip/feed Il est possible de s’abonner aussi à un tag. Il faut remplacer “/category/” par “/tag/” ! Mais comment faire si je souhaite m’abonner à plusieurs catégories ou plusieurs tags ? encore une fois, c’est simple, on ajoute une nouvelle fois “/category/” suivi du nom de la catégorie souhaitée. Imaginons, que je veux m’abonner à la fois à la catégorie voip et sdsl : http://www.blog-des-telecoms.com/category/voip/category/sdsl/feed C’est la même manipulation pour les tags. Par contre, toutes les méthodes afin d’exclure une catégorie n’ont plus l’air de fonctionner ! Si vous savez comment faire, merci de poster la solution en commentaire.

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Posted on: janvier 1, 2015 | 0 Commentaires

  • Edito du premier janvier 2015
    Voici le traditionnel moment où l’on doit prendre quelques minutes afin de regarder l’année qui vient de passer, faire un point sur les bonnes et moins bonnes choses. L’année fut très chargée en différents projets, motivants mais parfois épuisants. Je passe sous silence la remise en état de mon bureau (épuisant, énervant, surtout quand on fait appel à une entreprise gérée par des bras cassés et qui visiblement, est composée exclusivement par des personnes au QI de mollusque). J’ai participé en tant que conseil et chef de projet à la migration de plusieurs infrastructures télécoms de grandes entreprises, réalisé des missions d’expertises techniques et participé au lancement d’un opérateur télécom. Des missions enrichissantes à la fois techniquement, mais surtout par les différents contacts, les rencontres avec des personnes de différents pays et culture. PyFreeBilling, une application de softswitch VoIP réalisant routage, mediation et facturation basée sur FreeSwitch, a occupé de nombreuses journées et nuits de cette année. Mais quelle satisfaction de le voir utiliser en production avec succès ! et quel bonheur d’évoluer dans un milieu international loin de nos petites frontières hexagonales ! Le gros fail de cette année vient de mon humble avis d’Apple. Où est passé cette culture de la qualité, d’un matériel irréprochable parfaitement intégré avec le logiciel ? où est passé la robustesse d’OSX, sa fiabilité et sécurité ? pourquoi avoir oublié son histoire BSD ? Yosemite est-il une réussite ? perte de stabilité, réactivité plus faible, sécurité de moins en moins assurée et un comble autonomie en baisse ! Un point qui force des aficionados à migrer sous une autre plateforme, Microsoft Surface 3 pour certains, ou linux pour les autres. Quand on voit la qualité des dernières moutures de Fedora, Linux Mint, ElementaryOS ou même Ubuntu (j’en oublie de nombreuses autres), la tentation de quitter définitivement l’environnement d’Apple se fait de plus en plus forte (surtout quand on travaille quotidiennement sur Linux ou BSD !). Le succès de cette fin d’année serait pour moi la campagne de Crowdfunding de la tablette de Jolla, ces anciens de Nokia ne voulant pas voir enterrer définitivement le système d’exploitation MeeGo !. Une tablette respectueuse des utilisateurs, acceptant des applications natives mais aussi Android qui j’espère aura un beau succès. Peut-être qu’un jour, Nokia et Jolla fusionneront pour redevenir le leader de la téléphonie mobile ! Après cette belle année, marquée par une grave blessure au genou signifiant la fin de ma carrière de joueur de Hand, mais ouvrant un début de carrière d’entraineur (accompagnateur, je débute) pour les jeunes, j’espère avoir plus de temps pour pouvoir pratiquer mes sports passions, le surf, le paddle et le kitesurf. Je vous souhaite une excellente année à tous qui sera je l’espère une année d’amour et de paix !

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Posted on: décembre 22, 2014 | 0 Commentaires

  • SIP : comment débugger ?
    Introduction Votre nouveau serveur VoIP est en place. Mais pour une raison que vous ignorez vos appels ne fonctionnent pas comme prévus. Pas de panique, je vais vous présenter quelques outils en ligne de commande qui vont vous aider à déterminer la source du problème. En effet, le protocole SIP n’est pas toujours aussi simple à l’usage que dans la théorie. Les informations fournies par les systèmes de téléphonie Open Source (Asterisk, Freeswitch, Yate …) ou propriétaires ne sont pas toujours d’une grande aide (manque de lisibilité, de souplesse …). Pourquoi des outils en ligne de commande : l’installation est simple et très rapide, fonctionnent sur toutes les distributions linux, et l’information souhaitée est facilement et rapidement accessible. Il est tout à fait possible d’utiliser ces outils afin de sauvegarder les informations collectées dans un fichier afin de réaliser des analyses plus fines avec des logiciels intégrant une interface graphique, comme le renommé Wireshark. Pré requis Vous vous êtes assuré de la bonne configuration de vos comptes SIP (du moins sur le papier), que le routage (diaplan) est correctement fait et que les appels sont possibles (droits d’accès à la route bien affectés, balance financière positive …). Si pour vous, vous ne voyez pas de loup à cette étape, nous allons entrer dans le dur. Procédure Je vais maintenant vous expliquer comment trouver de manière efficace la source du problème. Nous allons du plus général vers le plus détaillé. Tout d’abord, vérifier que les échanges de messages SIP se passent comme prévus (je ne vais pas les rappeler ici, je vous laisse ressortir vos cours. J’écrirais peut-être un de ces jours un article les détaillants) : enregistrement, établissement d’un appel, raccroché de l’appel. Si une des étapes est manquantes, il va falloir trouver des informations détaillées. Nous allons voir ces étapes dans le paragraphe suivant. Comment tracer les messages SIP Nous allons dans un premier temps vérifier que les messages SIP échanger sont conforment. Nous n’avons pas besoin de tout le détail, juste du type de message SIP (100, 180, 407, 404 …). On va ainsi pouvoir voir très simplement à quelle étape le problème se pose. Le serveur distant souhaite que le compte soit enregistrer avant d’autoriser un appel (merde, on m’avait dit que c’était une authentification par IP ?), le serveur distant vous répond par un bon 404 ? … Pour cela, je vais utiliser tshark, outil renommé de tout bon administrateur linux. Il utilise la librairie pcap pour capturer le traffic de l’interface déclarée (avec l’option -i) et affiche (ou enregistre dans un fichier avec l’option -w) les informations décodées de paquets capturés. Les fichiers de capture créés peuvent être lus par Wireshark. Nous allons utiliser toute la puissance de filtrage de tshark afin de trouver l’information souhaitée. Par exemple, il faut vérifier que l’invite correspond bien au format attendu. tshark -i eth0 -R "ip.addr==78.x.y.10 and sip.CSeq.method eq INVITE" (-V) Si vous souhaitez capturer l’ensemble du traffic SIP d’une adresse ip spécifique et d’un port spécifique : tshark -i eth0 -R "ip.addr==78.x.y.10 and port==5060" -z sip,stat Un autre outil fort utile peut être utilisé, j’ai nommé tcpdump. tcpdump est un analyseur de paquet. Il utilise libpcap, une librairie C/C++ afin de capturer les paquets.  Vous devez avoir les droits de super utilisateur afin de pouvoir l’utiliser. Nous allons voir le détail de la commande à utiliser : -i eth0 — le nom de l’interface à écouter -n — afin de ne pas résoudre les hostnames host 1.2.3.4 — filtre le traffic sur cette adresse IP (peut être remplacé par net pour capturer un réseau ex : net 1.2.3.0/24) proto udp — en général on utilise de l’udp -w /tmp/file.pcap — pour enregistrer la capture dans un fichier. Mais comme on souhaite avoir le retour en console, on ne vas pas ajouter cette option. Vous trouverez le détail des options de la commande de tcpdump sur cette page. Conclusion Nous venons de voir de manière simple comment débugger un chance SIP entre 2 machines. Vous pouvez utiliser la capture afin de l’importer dans un GUI comme Wireshark afin de réaliser des recherches plus poussées, afficher une vue graphique des échanges ou générer des statistiques. Il est aussi possible d’utiliser d’autres outils comme ngrep. Je vous présenterai dans un prochain article l’outil HOMER.

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Posted on: décembre 19, 2014 | 0 Commentaires

  • PyFreeBilling : comment démarrer
    Vous souhaitez utiliser PyFreeBilling, Softswitch VoIP opensource basé sur FreeSwitch, mais vous ne savez pas par où commencer. Après avoir suivi la documentation d'installation sur un serveur Ubuntu 14.04 LTS 64 bits, je vous encourage à lire cet article intitulé : PyFreeBilling : quick start .

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Posted on: décembre 3, 2014 | 0 Commentaires

  • Part de marché des services fixes de haut débit en France – 3ème trimestre 2014
    L’ARCEP, l’autorité de régulation des communications électroniques et postales, vient de publier les derniers chiffres concernant le marché des télécommunications électroniques des services fixes haut et très haut débit pour le troisième trimestre 2014. Le marché est en constante croissance d’une valeur annuelle de +4% (+ 1 million de lignes sur 1 an).  L’ARCEP insiste sur le fait que la croissance est soutenue par les liaisons à très haut débit (liaisons supérieures à 30Mbits/s) dont la croissance est de 34% en un an. Le nombre d’abonnements internet à haut et très haut débit sur réseaux fixes inclut les abonnements xDSL, câble, fibre optique, BLR, satellite et wifi. Enfin, sont comptabilisés comme des abonnements très haut débit les accès à internet dont le débit crête descendant est supérieur ou égal à 30 Mbit/s quelle que soit la technologie support. Si on analyse ces chiffres avec les éléments déclarés par les opérateurs, on obtient les parts de marché suivantes pour le troisième trimestre 2014 (La catégorie « autres » est calculé en prenant le total ARCEP défalqué des totaux publiés par les  opérateurs : Orange, Free, SFR, Bouygues et Numéricable) : Orange : 40,00 % (croissance annuelle de 2,1%) Free : 22,61 % (croissance annuelle de 4%) SFR : 20,32 % (croissance annuelle de 0,2%, mais décroissance depuis début 2014 !) Bouygues Télécom : 9,03% (croissance annuelle de 19,5%) Numéricable : 4,21 % (croissance annuelle de 6,3%) Autres : 3,83 % (croissance annuelle de 16,3%) Il fat noter la décroissance de SFR qui s’explique par la revente à Numéricable (qui fait de cette dernière le 2ème acteur sur la place) et la poussée de Bouygues Télécom (en recrutement net au 3ème trimestre est premier avec 378 lignes, devant Free avec 225 et Orange avec 212).
  • Text to speech : comment utiliser festival, eSpeak et GoogleTTS avec asterisk, solution de téléphonie open source
    Introduction Il est souvent indispensable de diffuser des messages spécifiques aux appelants, des messages pouvant changer selon le contexte de l’appel (numéro appelé, numéro de compte saisi …). Il est difficile de prévoir tous les cas et d’enregistrer en studio à l’avance toutes les éventualités sans même parler du coût. Je vous propose d’utiliser un service de google permettant de générer un signal audio à partir d’un texte. Nous allons voir dans cet article 3 moyens différents de réaliser de la synthèse vocale pour notre serveur asterisk. Note : toutes les commandes sont pour une machine fonctionnant sous debian/ubuntu, mais vous pouvez simplement les transposer pour un autre système d’exploitation linux. Qu’est-ce que le text to speech ? Text to speech ou TTS pour les intimes, est une technique informatique permettant de transformer un texte écrit en parole artificielle, autrement dit, c’est de la synthèse vocale. Je vous renvoie sur wikipedia afin de découvrir l’histoire et les techniques de la synthèse vocale. Il existe plusieurs solutions libres de synthèse vocale : Festival et eSpeak sont les 2 les plus connues fonctionnant sous linux. Nous allons voir l’installation et l’usage sous asterisk. Une autre solution non libre, mais gratuite et qui à l’avantage de la simplicité : GoogleTTS. GoogleTTS est un service en ligne de Google (ah bon ?) réalisant de la synthèse vocale et qui est de plus, de bonne qualité. Solution de synthèse vocale Festival Installation L’installation est très simple, le paquet étant disponible dans les repos de Debian et Ubuntu mais aussi de Centos. apt-get install festival speech-tools Ensuite, vous devez modifier le fichier festival.scm afin de permettre à asterisk de se connecter au serveur festival. Le fichier est situé dans le répertoire /usr/share/festival/ (define (tts_textasterisk string mode) "(tts_textasterisk STRING MODE) Apply tts to STRING. This function is specifically designed for use in server mode so a single function call may synthesize the string. This function name may be added to the server safe functions." (let ((wholeutt (utt.synth (eval (list 'Utterance 'Text string))))) (utt.wave.resample wholeutt 8000) (utt.wave.rescale wholeutt 5) (utt.send.wave.client wholeutt))) Ensuite, il faut démarrer le serveur festival avec la commande suivante : festival --server 2>&1 > /dev/null & Bine entendu, il est souhaitable de l’ajouter au fichier /etc/rc.local afin que le serveur festival soit lancé au démarrage de la machine. Maintenant, nous devons paramétrer asterisk afin de lui indiquer où joindre notre serveur festival. Pour cela il faut modifier le fichier /etc/asterisk/festival.conf comme ci-dessous : [general] host=localhost port=1314 ;usecache=yes ;cachedir=/var/lib/asterisk/festivalcache/ festivalcommand=(tts_textasterisk "%s" 'file)(quit)\n Maintenant, nous allons vérifier que le module est bien chargé par asterisk en entrant cette commande en cli : CLI> core show application festival -= Info about application 'Festival' =- [Synopsis] Say text to the user. [Description] Connect to Festival, send the argument, get back the waveform, play it to the user, allowing any given interrupt keys to immediately terminate and return the value, or 'any' to allow any number back (useful in dialplan). [Syntax] Festival(text[,intkeys]) [Arguments] Not available [See Also] Not available Si vous obtenez une sortie comme celle-ci , c’est parfait, sinon chargez le module manuellement : CLI> module load app_festival.so Utilisation Nous allons maintenant le tester en modifiant le fichier /etc/asterisk/extensions.conf : ;Festival demo exten => s, 1, Answer() exten => s, n, Festival('Welcome! Your phone number is ${CALLERID(num)}.') exten => s, n, Hangup() Le résultat est acceptable sans être exceptionnel. Je ne vous ai pas présenté l’installation de la langue française, car la qualité n’est pas suffisante en regard des autres solutions que je vais présenter dans la suite de ce post. Mais comme festival est une solution open source nativement intégrée avec asterisk, il me semblait important de vous en parler. Solution de synthèse vocale eSpeak Installation Tout d’abord, il faut installer les fichiers de développement d’asterisk. Ensuite, il est d’installer eSpeak. Pour nous simplifier la vie, nous allons utiliser les paquets, mais pour un serveur de production je vous encourage à installer eSpeak via les sources. apt-get install espeak apt-get install asterisk-espeak L’installation via les paquets est maintenant terminée. Utilisation Nous allons voir l’utilisation de eSpeak au sein du dialplan asterisk. La commande à utiliser est Espeak et est assez simple à utiliser. Voici la syntaxe : Espeak(text[,intkeys,language]) Le texte est entre guillemets, intkey peut prendre 2 valeurs, soit any, soit une des touches du téléphones et language la langue souhaitée. Voici un exemple : ;eSpeak Demo exten => 1234,1,Answer() ;;Play mesage using default language as set in espeak.conf exten => 1234,n,Espeak("This is a simple espeak test in english.",any) ;;Play message in Spanish exten => 1234,n,Espeak("Esta es una simple prueba espeak en español.",any,es) ;;Play message in Greek exten => 1234,n,Espeak("Αυτό είναι ένα απλό τέστ του espeak στα ελληνικά.",any,el) ;;Read a text file from disk (relative to the channel language) ;;and play it with espeak using the asterisk channel language. exten => 1234,n,ReadFile(MYTEXT=/path/${LANGUAGE}/myfile,200) exten => 1234,n,Espeak("${MYTEXY}",any,${LANGUAGE}) exten => 1234,n,Hangup() Le logiciel est sous licence GPL, vous êtes donc libre de l’utiliser et bien entendu de l’améliorer. Solution de synthèse vocale GoogleTTS Installation Afin d’utiliser GoogleTTS sur notre serveur asterisk, il est nécessaire que notre serveur ait un accès à internet (le script doit faire appel aux serveurs de Google) mais il nécessite aussi l’installation des paquets suivants : apt-get install perl libwww-perl sox mpg123 Ensuite, nous allons utiliser un script AGI développer par Zaf, asterisk-googletts. Le script est développé en PERL. Premièrement, localisez l’emplacement du dossier agi-bin afin d’y installer le script. Pour cela, vérifiez la variable astagidir dans le fichier asterisk.conf . Ensuite téléchargez le fichier googletts.agi dans ce répertoire : wget https://raw.github.com/zaf/asterisk-googletts/master/googletts.agi chmod +x googletts.agi Maintenant, vous avez terminé l’installation !. Utilisation L’utilisation est extrêmement simple. Il suffit de faire un appel agi afin d’utiliser la synthèse vocale. Voici un exemple simple : ;DEMO GoogleTTS exten => S,1,Answer() exten => s,n,agi(googletts.agi,"Asterisk vous parle enfin.",fr) exten => s,n,Hangup() Un peu d’explication : googgletts.agi accepte plusieurs variables (4) que nous allons détailler : La première contient le texte. L’exemple est parlant ! La seconde contient la langue qui doit être utilisée (par défaut en-US). La liste est très longue. Les autres variables sont optionnelles : 3ème variable : elle peut prendre soit la valeur “any” ou n’importe quel chiffre ou # ou * . Quand un de ces éléments est saisi par l’appelant sur son clavier téléphonique, la lecture du texte est arrêtée. 4ème variable correspond à la vitesse de lecture (par défaut la valeur vaut 1). Vous pouvez accélérer la lecture en utilisant par exemple cette valeur 1.2 . L’utilisation est assez simple et le résultat est convaincant. La communication avec les serveurs de Google se fait en clair, mais il est possible d’utiliser une connexion cryptée (pour cela, il faut modifier le script PERL. Conclusion Nous avons vu 3 solutions différentes afin de réaliser de la synthèse vocale sous asterisk. Sachez qu’il en existe d’autres gratuites ou payantes de différente qualité. A part festival dont la qualité me semble juste, eSpeak et GoogleTTS apporte une qualité suffisante pour la plus part des installations. Quelle solution utilisez-vous ?

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Posted on: décembre 2, 2014 | 0 Commentaires

  • Mistserver : installation sous Ubuntu
    Mistserver est une solution opensource performante permettant de monter un serveur dédié de streaming développé par la société DDVTech B.V. Nous allons l’installer sur un serveur ubuntu 14.04 LTS tout frais. Le process est simple. Premièrement, télécharger les binaires : wget https://releases.ddvtech.com/download.php?pack=mistserver_64&ver=2.1.3 Puis extraire les fichiers dans le répertoire /usr/local/bin, et enfin donner les droits suivants à MistController : chmod a+x MistController Maintenant pour lancer Mistserver, il suffit de saisir la commande ci-dessous en remplaçant username et password par vos valeurs. Ce sont ces éléments que vous devriez utiliser pour vous connecter à l’interface web : MistController -a username:password -n Et voilà, c’est fini, vous pouvez maintenant ouvrir votre navigateur web préféré (Firefox ou Opera ) et aller à l’adresse http://server-ip:4242 Je vous laisse découvrir la documentation complète afin de paramétrer dans le détail votre serveur de streaming. Je souhaite aussi attirer votre attention sur le fait que le projet à mis à disposition une image pour raspberry. Les performances sont très légères, mais pour faire des tests, ou pour un serveur de streaming personnel, une carte Raspberry fera très bien l’affaire avec Mistserver.

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Posted on: novembre 4, 2014 | 0 Commentaires

  • FreeSWITCH : problème avec git “merge error”
    Vous rencontrez une erreur “merge error” lorsque vous souhaitez faire un pull sur la branche 1.4 de FreeSWITCH. Pas de panique, l’équipe de développement FreeSWITCH a réalisée quelques modifications. Pour corriger cette erreur impactant votre repo local, il vous suffit d’entrer cette commande : git reset --hard origin/v1.4 Vous pouvez installer maintenant la dernière version stable 1.4.

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Posted on: novembre 3, 2014 | 0 Commentaires

  • Test OpenSuse 13.2
    Introduction J’apprécie la qualité des distributions OpenSuse même si je travaille au quotidien sur des distributions basées sur Debian. La sortie de la version 13.2 m’a donné envie de voir les évolutions que les développeurs ont apporté au système. Nouveautés Les nouveautés sont nombreuses. Je ne vais pas lister les versions logicielles mises à jour, vous trouverez ces infos sur le site d’OpenSuse. Je ne vais aborder que les points les plus importants. Un travail important a été fait afin d’apporter stabilité, vitesse et sécurité au système. La première nouveauté importante est l’adoption du système de fichier Btrfs comme système de fichiers par défaut. Installation Chez Suse, le système d’installation est un modèle du genre : clair, lisible, efficace et beau ce qui n’enlève rien à la qualité ! La reconnaissance du matériel, la gestion de la langue française et les différents paramétrages se font très simplement. A noter, un partitionnement particulièrement travaillé (il est bien sûr modifiable). L’installation est très rapide sur un SSD. Nous pouvons utiliser plusieurs bureaux avec OpenSuse, notamment le dernier Gnome. J’ai pris le choix de rester sur KDE, bureau le plus utilisé par OpenSuse. Après l’installation, le système vous invite via le panneau de notification a effectuer la mise à jour. J’avais 577 paquets à mettre à jour !   Utilisation L’ utilisation du système est très agréable. Le démarrage est rapide. Le menu KDE / OpenSuse est toujours aussi agréable à l’utilisation (j’ai toujours trouvé les bureaux KDE plus jolis que les bureaux Gnome, mais c’est une affaire de goût !). Il est facile et rapide de trouver l’application souhaitée. Un champ recherche est disponible et particulièrement efficace. Le panneau de configuration s’inspire de MacOSX. Les différents éléments sont compréhensibles et facilement personnalisables. L’ ensemble des logiciels de bureautique sont présents : LibreOffice, Firefox, la suite Kmail (que je vous invite à découvrir si vous ne connaissez pas). Vous pouvez installer de nouvelles applications grâce à YaST, l’installateur maison. Là encore, c’est simple et efficace. Par ce même outil, vous pouvez paramétrer votre poste de travail. Après quelques heures d’utilisation pour le surf et la bureautique (on verra un peu plus tard pour le dev), OpenSuse 13.2 semble bien née et agréable. Conclusion Une très bonne de distribution de bureau, sure et efficace. Le nombre d’applications disponibles est important permettant une utilisation quotidienne facile. La rapidité semble au rendez-vous. Qu’en pensez-vous en comparaisons avec Linux Mint, Ubuntu ou Fedora ?

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Posted on: septembre 12, 2014 | 0 Commentaires

  • Téléphones : Firefox OS
    Vous souhaitez un téléphone sous Firefox OS, lisez cet article. Liste de téléphones, installer Firefox OS sur votre téléphone.

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